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accouplement côte à côte loc. nom. m. ÉLECTR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1881 - «Ce mode d'accouplement est appelé 'accouplement côte à côte' (1) [...] [en note] (1) On dit encore accouplement parallèle, ou en surface, ou en quantité, ou par les pôles de même nom.» J. Raynaud, trad. : J.E.H. Gordon, Traité expér. d'électricité et de magnétisme, t.1, 560 (Baillière) - P.P.
bleu côte d'émeraude loc. nom. m. COULEUR - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1903 - «[...] velours Liberty ; c'est ce dernier, qui dominera pour la saison printanière, en bleu côte d'émeraude et en tête de nègre.» La Mode illustrée, 61 - A.Ré.
bord-plat, bords-plats n.m. CHAPELL. - DDL 25, 1936, Colette ; absent TLF.
1904 - «[...] un chapeau énorme à bord plat. - Tenez, Maugis, voilà votre galurin. - Merci, ma gosse, rendit grâce le personnage à l'oignon en couvrant sa calvitie. Notoire, cette calvitie ; notoires, cet oignon et ce galurin signé Léon, parce que notoire leur propriétaire, le sieur (non de long, mais de large) Henry Maugis [...] Et vous, monsieur de Constant de la Haye, tiqua le chauve au bord plat, un curaçao de Hollande ? [...] L'homme au bord plat, le bord plat sur la tête, présenta l'angle de son bras plié à Gunur.» Willy, En bombe , 35 et 55 et 147 (Nilsson) - P.E.
course de plat loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Tous possèdent une très bonne technique en terrain plat et il ne faut donc pas s'étonner que la victoire, en définitive, soit revenue à Bussmann, qui est un as de la course de plat, doublé d'un grimpeur d'élite.» La R. du ski, n° 3, mars, 83 - C.T.
côte n.f. BOT. "division naturelle sur la peau de certains fruits ou légumes ; par méton. : tranche [d'un melon]" - FEW (2, 1250b ; - de melon), 1660, Oudin ; GR[85], Mme de Sév. ; GLLF, cit. B. de Saint-Pierre ; TLF, cit. Goncourt.
1624 - «A midy, disné... trois costes d'ung grand melon [...].» J. Héroard, Journ., 2, 2921 (Fayard) - P.R.
côte de cheval loc. nom. f. TEXT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1909 - «Comme toujours, les collections de lainages de cette maison spéciale sont d'une extrême richesse ; nous avons tout particulièrement remarqué : [...] la Côte de cheval Centaure (7 fr.50 ; larg. 1 m.30) qui sera le grand succès de la saison [...]» La Mode illustrée, 28 mars, 145a - M.C.E.
1909 - «Robe de promenade pour jeune femme [...] en lainage quadrillé bleu Wathman [sic] [...] Robe avec jupe tunique [...] en toile de laine bleu Wattman [...]» La Mode illustrée , 4 avr., 153b et 11 avr., 170b - M.C.E.
1924 - «Si vous désirez un tailleur de nouvelle saison, vous pouvez choisir une côte de cheval sable.» Le Petit écho de la mode, 10 févr., 2 - M.C.E.
côte de soie loc. nom. f. TEXT. - FEW (2/II, 1250b), 1723, Savary des Bruslons ; L, ø d ; absent TLF.
1557 - «Laurent Le Sourd, faiseur de cordon de coste de soye [...]»Geisendorf, Habitants, I, 96(Genève) - GPSR, IV, 352.
1580 - «Les franges et passements veloutez devront estre de fine soye et fleuret, sans y entremesler cappiton, cost ny estouppes de soyes [...]»Sources droit, III, 381(Genève) - GPSR, IV, 352.
côte-rôtie n.m. BOISSON VIN "vin rouge de la vallée du Rhône" - FEW (2, 1249a), 1829, Boiste ; Mat., 1830, Balzac ; TLF, ø d.
• vin de Côte rotie - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1728 - «Morachet est un petit terroir entre Chassagne & Puligny dans la plaine, qui est en possession d'une veine de terre, qui rend son terrein unique dans son espece ; il produit un vin blanc le plus curieux, & le plus delicieux de France ; il n'y à point de Vin de Côte rotie, ny Muscat, ny Frontignan qui l'egale.» Mr. Arnoux, Dissertation sur la situation de Bourgogne, 45 (Londres, Impr. S. Jallasson) - M.C.
1767 - «Il est certain que les vins qui ont un goût de terroir, peuvent le communiquer à l'eau-de-vie que l'on en extrait. Les uns ont un goût d'Iris de Florence, commes les vins rouge & blanc de Sessuel en Dauphiné ; de violette, comme ceux de Saint-Perret en Vivarais ; les autres ont un goût singulier, qu'on appelle de pierre à fusil, comme ceux de Côte-rôtie [...]» Abbé Rozier, Mém., présenté au concours de la Soc. Royale d'Agriculture de Limoges, année 1767 , 129, note (Lyon, Libr. Frères Perisse, 1770) - M.C.
côte-rôtie n.m. OENOL. "vin rouge de la vallée du Rhône" - FEW (2, 1249a), 1829, Boiste ; Mat., 1830, Balzac ; TLF, ø d.
• vin de Coste Rostie loc. nom. m. - DDL 43 (vin de Côte rotie), 1728, Arnoux ; absent TLF.
1694 - «PIERROT. Hé ! que dites vous de ce vin ? PASQUARIEL. Hé, je le garantis veritable vin de Coste Rostie.» Biancolelli, La Fausse coquette, in Gherardi, Le Théâtre ital., V, 318 (Braakman) - P.E.
côte-rôtie n.m. OENOL. "vin rouge de la vallée du Rhône" - FEW (2, 1249a), 1829, Boiste ; Mat., 1830, Balzac ; TLF, ø d.
1755 - «La demie-bouteille [sic] de côte-rôtie fut tirée du coffre de la chaise ; nous la vuidâmes à votre santé et aux nôtres [...].» Diderot, Corresp., I, 173 (éd. de Minuit) - P.E.
1807 - «[...] parmi ces douces liqueurs on doit en noter deux d'une vertu plus sévère, le Côte-Rôtie et l'Hermitage.» Journ. des gourmands et des belles, VI, 36 - P.E.
ennoyage (côte d'-) loc. nom. f. GÉOL. - GLLF, ø d. ennoyage : Rs, 1932, Lar. ; TLF, cit. George, 1970 ; GLLF, 20e ; Lex.[75], ø d.
1930 - «Côtes d'ennoyage, Côtes où le littoral, épousant la forme des couches géologiques, pénètre dans les zones synclinales, tandis que les zones anticlinales correspondent à des promontoires.» Lar. 20e - R.R.
extra-plat n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «Les pitons sont pendus à ma droite et seule ma main gauche est libre, la droite étant verrouillée dans la fissure, ce qui ne facilite pas l'opération. Je réussis à décrocher un piton, c'est un extra-plat, il m'aurait fallu un piton épais, mais je ne peux plus attendre.» La Montagne et alpinisme, numéro 21, févr., 4 - C.T.
1968 - «Il progresse d'un mètre, puis s'arrête de nouveau : - Ca ne va pas ! Trouve-moi des extra-plats et des lames américaines, la fissure au-dessus est bouchée.» La Montagne et alpinisme, numéro 69, oct., 316 - C.T.
faux plat loc. nom. m. SKI - RSp., 1967, Franco ; in Ga [1969] ; absent TLF.
1933 - «[...] légère montée et plat. Quatrième estafette : 6 km de 'faux plat' de Valle Stretta à la piste de bob.» La R. du ski, n° 5, mai, 114 - C.T.
frère de la côte loc. nom. m. HIST. MAR. "pirate" - GLLF, 1872, Lar. ; TLF, GR[85], cit. Loti, 1883.
• frère-la-côte - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1914 - «Il n'arrive jamais ici un frère-la-côte sans que tu lui indiques le moyen de venir à bout du vieux Protée !» Claudel, Protée, 1ère version, in Claudel, Théâtre, II, 323 (Pléiade, 1956) - A.Ré.
garde-côte n.m. MAR. "navire chargé de surveiller les côtes" - FEW (17, 520a), GLLF, DHR, 1690, Fur. ; absent TLF.gallere garde-coste : TLF, 1599
av. 1627 - «[...] nous rencontrâmes trois navires de Hollande, autrement appelés gardes-côtes [...].» Un Flibustier, 44 (Seghers) - P.R.
marche à plat loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1896 - «Elle [la neige fraîche] ne vaut rien pour la marche à plat ou sur les faibles descentes.» L'Echo des Alpes, 55 - M.J.
1899 - «M. P.[aulcke] nous enseigne les principes de la marche à plat et à la montée, de la glissade à la descente, du saut, des conversions et il entre dans des détails si circonstanciés, qu'il est impossible de ne pas le comprendre.» L'Echo des Alpes, 181 - M.J.
1908 - «La marche à plat se fait en glissant sur la neige (même molle ou fraîchement tombée) et en faisant de longs pas sans lever le pied, marche parallèle.» Bull. de la section vosgienne du Club alpin, 20 - M.J.
monte-plat, monte-plats n.m. ÉCON. DOM. - TLF, 1876, Chabat ; DDL 12, GR[85], 1878 ; DG (néol.), FEW (6/III, 112a), GLLF, Lex.[79], 1893.
1875 - Bottin, in Darmesteter, De la Création actuelle de mots nouv. dans la langue fr., 164 (Réimpr. de l'éd. de Paris 1877, Genève, Slatkine, 1972) - M.B.
pied-plat adj. péjor. INJURE "fig. : péquenaud" - TLF, 1573 ; Lex.[75], v. 1600 (?) ; GLLF, ND4, 1660, Oudin ; PR[77], 17e ; R, cit. Musset.
*1615 - «[...] il te sera loisible ou d'executer quelqu'un de tes premiers desseins, ou de passer les monts Pyrennées pour aller gaigner quelques reales du jour au lendemain à la conduite de ces affetées, pied-plates, constipées Castillanes.» Harangue de Turlupin, in VHL, VI, 67-68 (Jannet) - P.E.
pieds à plat, pieds-à-plat loc. adj. ALP. - RSp., 1970, La Montagne ; absent TLF.
1967 - «Ce matériel nouveau oblige son utilisateur à souvent progresser à l'aide des pointes antérieures des crampons. Mais sa moindre adhérence dans les pentes très raides, en glace, rocher verglacé et enneigé, contraint le grimpeur à abandonner cette technique 'deux pointes', pour celle moins fatigante, dite 'pieds à plats'.» La Montagne et alpinisme, numéro 62, avr., 48 - C.T.
piton plat loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «Des divers modèles [de pitons] que l'on trouve dans le commerce, bon nombre sont à proscrire ; un seul est recommandable pour l'usage courant : le piton Fiechtl, qui nous vient des Alpes Orientales. Il existe en deux variétés [...] piton plat, section allongée dans le plan de l'anneau [...]» Man. d'alpinisme, 41 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1968 - «Un long moment passe, puis il me demande des pitons plats.» La Montagne et alpinisme, numéro 69, oct., 316 - C.T.
piton ultra-plat loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1947 - «Après quelques longueurs faciles, nous arrivons au pied du fameux ressaut en 'demi-lune'. Vous aimez les pitons ? On en a mis partout !... Il y en a de tout âge et de toute dimension, depuis les barres à mine et les anneaux de navire tout rouillés, jusqu'aux modestes pitons cadmiés, chantournés et ultra-plats. Avis à ceux qui trouvent les 'Simond' trop chers. A vrai dire, ces clous ne sont pas 'équipartis', et entre chaque groupe le passage conserve encore quelques difficultés.» La Montagne, numéro 338, oct.-déc., 76 - C.T.
plat n.m. SKI "du patin" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1911 - «La soif les tenaillait à tel point que, si la montagne n'avait pas été suffisamment garnie de neige, la consommation qu'ils en firent, faute d'en laisser où planter le plat des skis, aurait fait échouer cette première ascension des Diablerets.» L'Echo des Alpes, 132 - M.J.
1917 - «Nous nous sommes bien trouvés d'un traitement d'été consistant à chauffer les plats des skis au soleil puis à les imprégner d'un mélange tiède de trois parties d'huile de lin cuite et d'une partie de pétrole.» H. Faes et P.-L. Mercanton, Le Man. du skieur, 24 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
plat n.m. SKI - In Ga [1969] ; absent TLF.
1925 - «Ski-ing for beginners, par Arnold LUNN. - Methuen, Londres 1924 : 127 pages, 8 illustrations [...] Les deux premiers chapitres nous parlent de l'équipement, de la montée, du plat, de la descente. Le reste de l'ouvrage est consacré aux virages.» R. alpine, n° 2, vol. 26, 84 - C.T.
plat (donner un - de son métier) loc. verb. VIE PROF. "montrer sa compétence" - FEW (6/II, 119b), 1640, Oudin ; L (- de son habileté), cit. Mme de Sév., 1676.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1605 - «Mais afin que tu croyes que ie suis de ta confrarie, ça parlons à coeur ouuert, que ie te donne vn plat de mon mestier [...]» Le Lunaticque à M. Guillaume, 4 (s.l.n.d.) - P.E.
plat de son métier (un -) loc. nom. m. CARACT. "supercherie" - DELF, fin 16e (?) ; L et DG (servir -), cit. Racine ; FEW (6/II, 119b), 1771, Trév. ; TLF, cit. Balzac, 1839.
1640 - «vn plat de son Mestier .i. quelque chose de sa profession. Item, vne supercherie.» Oudin, Curiositez fr., 344 (Slatkine) - P.E.
plat ventre loc. nom. m. NATATION - absent TLF.
Add.DDL 12 (1842)
*1844 - «Télémaque [...], au risque de donner ce qu'on appelle un plat ventre, en termes de natation, se jette du haut d'un praticable dans le sillage tracé par Mentor.» Th. Gautier, Hist. de l'art dramatique en France, 3, 252 - P.W.
plat-gueux n.m. non conv. INJURE - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1772 - «FONSEC. [...] Jé tatonne ; ma main sé trouve dans sa poche, / Jé cherche, au seul penser j'en deviens presqué fou, / Lé plat gueux n'avait pas un sou.» Théis, Le Tripot comique, 123 (Cailleau) - P.E.
1790 - «Les foutus traîtres ! les foutus plat-gueux ! les triples chiens !» Jean Bart, numéro 16, 3 - P.E.
plat-ventre n.m. NATATION "mauvais plongeon" - E, 1927 ; TLF (faire un plat), cit. Dupré, 1972.
1842 - «Un journal a paru s'étonner que M. le baron de K..., le représentant d'une cour du Nord, n'ait pu parvenir depuis quatre ans, malgré l'application la plus constante et la plus assidue, à piquer une tête, et en soit resté au plat-ventre. C'est la loi de la gravitation chez les diplomates ; le ventre emporte toujours la tête.» E. Briffault, Historiettes contemporaines, 31 août, 9 - P.E.
pli plat loc. nom. m. COUTURE - TLF, cit. Colette, 1922 ; GLLF, 1932, Lar. (s.v. plisser) ; R, PR[77], ø d.
1909 - «La jupe trotteuse se portera beaucoup en tussor ou en petit lainage grisaille, plissée à plis plats [...]» La Mode illustrée, 23 mai, 242c - M.C.E.
*1926 - «[...] certains couturiers [...] annoncent, pour le printemps, un retour des plis creux et des plis plats.» Femina, janv., 19 - M.C.E.
punaise (plat comme une -) loc. adj. non conv. ESPACE/LIEU/FORME "sens concret" - FEW (9, 44b), BEI, 1640, Oudin ; GR[85], ø d ; absent TLF.
• aplati comme une punaise - absent TLF
Compl.Hu (même texte, ø d)
1584 - «Ma bourse est applatie comme une punaise, son apostume est crevée.» F. d'Amboise, Les Neapolitaines, in Anc. théâtre fr., VII, 226 (Jannet) - P.E.
ski de plat loc. nom. m. SKI "sport" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «On peut adopter cette classification du ski : ski de descente, ski de plat (comprenant le ski à la montée) et ski de saut. [...] La technique du ski de plat est l'art de se déplacer aussi aisément et aussi rapidement que possible en plat ou à la montée.» A. de Gennes, trad. : A. Lunn, Le Ski alpin, 1 et 155 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1932 - «Suivent les principes des virages, des chasse-neige, des descentes sur bâtons, du ski de plat et enfin des conseils sur les slolans.» Camping, mars, 68 - C.T.
skieur de plat loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «La plus élémentaire connaissance de la technique de plat ajoutera énormément à l'intérêt d'une journée d'excursion en montagne. L'ascension offre au skieur de plat des problèmes de technique passionnants.» A. de Gennes, trad. : A. Lunn, Le Ski alpin, 156 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
technique (des) pieds à plat loc. nom. f. ALP. - RSp., 1970, La Montagne ; absent TLF.
1967 - «Ce matériel nouveau oblige son utilisateur à souvent progresser à l'aide des pointes antérieures des crampons. Mais sa moindre adhérence dans les pentes très raides, en glace, rocher verglacé et enneigé, contraint le grimpeur à abandonner cette technique 'deux pointes', pour celle moins fatigante, dite 'pieds à plats'.» La Montagne et alpinisme, numéro 62, avr., 48 - C.T.
1969 - «Même s'il y a quelques alpinistes qui emploient - en raison de conditions anatomiques particulières - la technique des pieds à plat, dite encore technique Eckenstein, consistant à maintenir avec la surface de la glace la totalité des pointes de crampons et exigeant une forte torsion des chevilles, dans la glace raide avec la même efficacité qu'en utilisant la technique des pointes avant, ceux-ci constituent une exception et c'est à notre avis une erreur de recommander - ou même d'imposer - à la grande masse des alpinistes une technique peu naturelle, plus difficile et moins efficace.» La Montagne et alpinisme, numéro 73, juin, 105 - C.T.
à-plat n.m. COUTURE - TLF, 1866, Lar.
1845 - «Le corsage [d'une amazone] est montant et busqué, formant un à-plat irréprochable emboîtant l'origine du cou, sans le comprimer [...]» Le Moniteur de la mode, 10 avr., 1a - M.C.E.
1849 - «Robe busquée à revers étroits ; corsage plat, un peu busqué, barré par des à-plat de dentelle et des roses progressives [...]» Journ. des demoiselles, mai, 153a (Bruxelles) - M.C.E.
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